Appliquée depuis des décennies jusqu’à un coup d’arrêt en juillet 2018, la “discrimination positive” visait à égaliser les chances des différentes races aux USA en dépit de leur différence d’intelligence.
Le SAT test est le test d’entrée dans les différentes universités américaines, chacune ayant son propre seuil. Aussi incroyable que cela puisse paraître, la discrimination positive accordait un bonus ou un malus selon la race du candidat. Les candidats afro-américains se voyaient rajouter 310 points à leur score, les hispaniques 140, le score des européens n’était pas modifié et à l’inverse les asiatiques se voyaient retirer 140 points !
Evidemment ce genre de procédé va à l’encontre d’une société fonctionnelle basée sur les compétences, puisque par exemple des afro-américains avec un Q.I moyen nettement inférieur se retrouvaient enrôlés dans de bonnes universités grâce à un score artificiellement gonflé, et le diplôme d’un afro-américain n’avait plus la même valeur qu’un diplôme obtenu par un européen ou un asiatique, et les employeurs le savaient.